L’AMPEF lance le projet Diversité culturelle comme facteur de cohésion sociale
L’Association mauritanienne pour la promotion de l’éduction des filles a lancé le jeudi 14 juillet à Dar Naim le projet Diversité culturelle comme facteur de cohésion sociale à travers la communication, l’éducation et le host family (famille d’accueil) financé par l’ambassade des Etats Unis.
Cela en présence Djigo Mountoali président de la Fédération internationale de la paix section Mauritanie ; Diallo Mokhtar point focal de la Société Civile, l’adjointe au maire de Dar Naim et Ismael Kane représentant de l’ambassade des Etats Unis à Nouakchott.
Dans un discours prononcé avec la vigueur qu’il faut Salimata Sy présidente de l’AMPEF a déclaré d’entrée que «le problème de la cohésion sociale reste et demeure le défi le plus important auquel notre pays est confronté».
Pour relever le défi en question, l’AMPEF propose la promotion d’une société inclusive pour la renaissance d’une Mauritanie nouvelle. Et promet de travailler et de contribuer à l’émergence « d’une Mauritanie d’échanges mutuels et du mieux-être pour un vivre ensemble».
Afin de joindre l’acte à la parole l’association entend entreprendre une initiation aux différentes cultures et langues du pays.
«A travers le projet Diversité culturelle comme facteur de cohésion sociale, une Mauritanie d’échanges mutuels et du mieux-être pour un vivre ensemble s’inaugurera par un groupe de jeunes issus de toutes les communautés du pays», dit la présidente de l’AMPEF et d’ajouter : « Ces 15 jeunes qui s’initieront aux langues et aux cultures de ceux qui étaient considérés comme les autres, seront un échantillon de cette Mauritanie que nous voulons. Une Mauritanie de diversité culturelle, une Mauritanie une et indivisible où le mauritanien se nommera citoyen tout court».
Rappelons que par le passé quelques rares écoles primaires mauritaniennes comme l’Ecole 5 située entre Médine R et Socim (Nouakchott) avaient entrepris un projet similaire, en vain. Espérons que l’AMPEF fera mieux.
LNE
Cela en présence Djigo Mountoali président de la Fédération internationale de la paix section Mauritanie ; Diallo Mokhtar point focal de la Société Civile, l’adjointe au maire de Dar Naim et Ismael Kane représentant de l’ambassade des Etats Unis à Nouakchott.
Dans un discours prononcé avec la vigueur qu’il faut Salimata Sy présidente de l’AMPEF a déclaré d’entrée que «le problème de la cohésion sociale reste et demeure le défi le plus important auquel notre pays est confronté».
Pour relever le défi en question, l’AMPEF propose la promotion d’une société inclusive pour la renaissance d’une Mauritanie nouvelle. Et promet de travailler et de contribuer à l’émergence « d’une Mauritanie d’échanges mutuels et du mieux-être pour un vivre ensemble».
Afin de joindre l’acte à la parole l’association entend entreprendre une initiation aux différentes cultures et langues du pays.
«A travers le projet Diversité culturelle comme facteur de cohésion sociale, une Mauritanie d’échanges mutuels et du mieux-être pour un vivre ensemble s’inaugurera par un groupe de jeunes issus de toutes les communautés du pays», dit la présidente de l’AMPEF et d’ajouter : « Ces 15 jeunes qui s’initieront aux langues et aux cultures de ceux qui étaient considérés comme les autres, seront un échantillon de cette Mauritanie que nous voulons. Une Mauritanie de diversité culturelle, une Mauritanie une et indivisible où le mauritanien se nommera citoyen tout court».
Rappelons que par le passé quelques rares écoles primaires mauritaniennes comme l’Ecole 5 située entre Médine R et Socim (Nouakchott) avaient entrepris un projet similaire, en vain. Espérons que l’AMPEF fera mieux.
LNE
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